Je serai au lancement de la revue Barberose, lundi prochain, de 17h à 19h, au salon littéraire du collège Rosemont. J’y ai une courte bande dessinée de quatre pages.
Au plaisir de vous y voir! (couverture: Elisabeth Eudes-Pascal)
Je serai au lancement de la revue Barberose, lundi prochain, de 17h à 19h, au salon littéraire du collège Rosemont. J’y ai une courte bande dessinée de quatre pages.
Au plaisir de vous y voir! (couverture: Elisabeth Eudes-Pascal)
Benoît Peeters donnait une conférence jeudi soir à l’atelier de bd de Jimmy Beaulieu. Je ne suis pas un régulier de l’atelier, mais je ne pouvais pas manquer M. Peeters dont j’avais lu Lire la bande dessinée dans mon cours d’analyse littéraire de la bande dessinée jadis au cégep (oui ça existe vraiment ce cours!).
J’ai erré quelque peu dans la lune à certains moments de l’entretien, mais ça m’a permis de croquer ces moments muets que M. Peeters semble apprécié autant que moi dans la bande dessinée.
Humpf! Les noms qui s’inscrivent me font peur, encore trop moumoune. Les chercheurs en bio m’intimident pas mal moins.
http://www.cvm.qc.ca/activitesservices/culturel/ateliers/Pages/index.aspx#bd
(Cliquer sur l’image pour agrandir.)
P. S. : À 35 ans et avec dix ans de métier derrière moi, je me considère enfin capable de faire du crayonné/encré d’une manière à peu près satisfaisante. Il faut éviter que cette technique de pissou ne devienne une béquille, car la meilleure manière de faire un bon dessin vibrant reste de le faire une seule fois, avec un seul trait franc par trait. Tout cet échaffaudage/écrémage est le meilleur moyen de faire de la marde morte. Si on ne maîtrise pas cette technique, on est aussi ben d’y aller direct (à l’encre ou au plomb), quitte à ce que ça soit tout croche. Mais en bande dessinée, c’est un système utile lorsqu’il s’agit de se dépasser et faire des choses plus complexes.
Ça me rassure ou ça me conforte!